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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 09:44

 

 

 

 

Automne 4

 

 

 

Tu crois être discret...mais penses-tu que je n'ai rien vu ?

Tu fais tes coups en douce, sournoisement, sans avoir l'air de rien, grignotant chaque jour un peu plus de mon bien-être...

Crois-tu que je n'ai pas vu que tu avais cette nuit repeint en rouille toutes les feuilles de la vigne-vierge ?

Crois-tu que je n'ai pas vu que tu avais décoiffé les arbres du jardin ? Pire...que tu avais cueilli les toutes dernières roses églantines ?

Me prends-tu pour une niaise qui ne se serait pas aperçue que tu mordais à pleines dents dans mes tranches de jour...laissant ta nuit avaler gloutonnement ma lumière, croquant les heures les unes après les autres comme une souris affamée et qui pour cacher les trous étalerait une couche de brouillard, ni vu ni connu...

Crois-tu que je n'ai pas senti que tu avais baissé la chaudière, me forçant à ressortir tous mes pulls de l'armoire ?

Tu pointes le bout de ton nez en refroidissant le mien...tu es content sans doute de me donner des frissons...mais sache une bonne fois pour toutes, Monsieur l'Hiver, que ma préférence ira toujours à l'été et que dans la ronde des saisons, si j'en avais les moyens, je zapperais ton tour !

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22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 00:31

 

 

 

saule-pleureur.JPG

 

 

 

 

A l’ombre de mes chimères

Au-delà de la lumière

Tu respires

Tu respires, tu vis, tu soupires

A l’ombre de mes souvenirs

Tapis au fond de ma chair

De mon cœur qui expire

L’ombre de toi soupire, volète et déchire

L’espace entre nous, frangé de désirs

Les traits de ton visage, mirage qui vacille

Ombrent les nuages aux contours qui s’effilent

File le temps qui glisse à l’autan des transes

D’un passé révolu si présent dans l’absence

A l’ombre de ta tombe

Sous l’ombrage des grands arbres

Le silence se fait sombre et plombe l’air qui tombe

Ton ombre évanescente traverse l’espace ouvert

Plongeant mon regard sombre au fond de la pénombre

Une palombe fendant l’ombre

Vient déchirer le ciel

Emportant sur ses ailes

Ma peine qui succombe

 

 

 

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 01:30

 

 

 

 

chat laine

 

 

 

 

Je m’en vais tricoter des rêves.

Chaque nuit, remettre sur l’ouvrage des rêves encore des rêves…

Détricoter des cauchemars et en faire des bouts de ficelle.

 

Bouts d’ficelle, selle de ch’val, ch’val de course, course à pied…

 

Sauter sur les nuages

Sous un halo de lune

Chercher la clef des songes

Au milieu des étoiles

 

Et regarder le chat jouer avec la laine

Et tricoter des rêves

A l’endroit

A l’envers

 

Et tricoter des rêves

Des rêves, encore des rêves…

 

 

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 13:28

 

 

 

 

Ange

 

 

 

 

Saut de l’ange

Saut de l’an

Le manège a tourné

Sur les saisons volées

L’ange saute sur le calendrier

Du mois de Décembre au mois de Janvier

Une année doucement s’est écoulée

L’ange saute sur chaque mois à pieds joints

Soufflant au temps de longs jours en moins

Comme sur les touches noires et blanches d’un piano

L’ange choisit la chanson à propos

Mois emplis d’épreuves, mois emplis de joie

Selon le destin, l’ange applique la loi

 

Aux douze coups de minuit

Alors que la lune rit

L’ange va sauter

Sur la nouvelle année.

Saut de l’ange

Saut de l’an

L’an neuf en trompettes a sonné !

 

 

 

Douce année 2011 à vous...

Sérénité, petits bonheurs chopés ici ou là...pas de larmes dans vos yeux, pas de vilaines vagues sur les océans de vos jours, ni de zébrures dans votre ciel...juste des éclats d'étoiles qui feront briller vos yeux et frémir vos coeurs de petites joies !

 

 

 

 

 

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 20:28

 

 

 

sieste

 

 

 

 

"A l’heure de la sieste sous la toile tendue

Supervielle me murmure ses vers décousus.

Du lointain sur la plage me parviennent les cris

Des enfants et des mouettes qui guettent la marée.

Sous l’ombre étouffante et l’air qui s’essouffle

Les bourdons enivrés par le parfum des roses

Zigzaguent dans l’air lourd et grognent dans les buissons

Les heures s’étirent comme s’étire ma flemme

En lambeaux de temps ravis à l’horizon blême,

En mille grains de sable emportés un à un

Par la brise qui frise l’écume de la mer."

 

 

 

 

Ma flemme est telle en cette période estivale que je déserte beaucoup mon blog, mais ne m'en veuillez pas car je ne vous oublie pas pour autant !

Je m'octroie comme chaque année une longue pause estivale, me réservant toutefois le plaisir de venir poser quelques mots ici et chez vous, au gré de mes envies, de mes plages de temps libre, de mon inspiration... ne gardant qu'un seul mot d'ordre en tête :

 

 " En été, ne reste pas enfermée le nez sur ton écran

    Profite des beaux jours, car l'été n'a qu'un temps !"

 

La maison de famille en bord de mer n'attend que famille et amis pour bruire de rires et de cris joyeux !

Les transats sont sortis et les seaux et les pelles à portée de main !

Le soleil est là et la mer toujours à la même place !

A moi la vraie vie !!

 

Bonnes vacances à ceux qui partent et excellent été ensoleillé à vous tous ! :-)

 

 

 

 

 

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 21:19

 

 

 

 

45 Fenetre ouverte sur la nuit

 

 

 

 

« La nuit offre au poète tellement d’heures sans bruit.

A c’qui paraît la nuit, tous les stylos sont pris ! »

 

C’est Grand Corps malade qui dit ça !

 

Je trouve que ces mots-là sont bien jolis à lire.

Jolis aussi, lorsqu’ils sont « slamés » à la façon de Grand Corps malade.

Grand Corps malade est un poète avant tout ; un poète moderne qui jette les mots en les faisant danser sur une petite musique de fond, en les rendant vivants.

 

La nuit, c’est vrai, est propice à l’inspiration.

Dans le silence du monde, on entend le murmure des muses…juste un souffle qui fait vaciller la flamme des bougies.

Il faut savoir écouter le silence des heures qui s’écoulent tapies au creux du gris des nuits…

Il faut savoir tendre tous ses sens aux signes invisibles que seul le silence livre en catimini…

Fermer les yeux,

Se concentrer au mieux

Ecouter les mots

Qui bruissent dans l’air

Et qui se plantent soudain

A la pointe du stylo.

Et là, laisser faire !

Laisser le stylo gratter le dos

Du papier vierge de tous mots.

Laisser le stylo divaguer sans répit

Couvrir de son encre la page qui revit

Sous les assauts d’une vague de mots

Qui s’écoulent ainsi à vau l’eau

A volonté et sans maux.

 

C’est magique parfois, ces mots qui vous échappent, qui semblent venus d’ailleurs, sans que vous puissiez en arrêter le flot…

 

Ac’qui paraît la nuit, toutes les souris sourient…

Ac’qui paraît la nuit, tous les chatons sont gris…

A c’qui paraît la nuit, la lune rousse s’évanouit…

A c’qui paraît la nuit, les mots doux font leur nid…

A c’qui paraît la nuit, tous les secrets sont dits…

A c’qui paraît la nuit, les fourmis étudient…

A c’qui paraît la nuit, les anges sont au logis…

A c’qui paraît la nuit, tous les loups sont maudits…

 

Je pourrais continuer ainsi…jusqu’à l’infini…

Si ça vous dit, à vous aussi

De penser à la nuit…

N’hésitez pas jusqu’à minuit

A laisser vos mots ici…

car dès que la nuit s’enfuit…

pfrtttt, le jour avale le silence et les mots sont délit !

 

A c’qui paraît la nuit…

A vous, mes amis !

 

A propos de nuit et de jour, je connais un calédonien qui va confondre le jour et la nuit pendant quelque temps : mon Sébastien quitte son île pour un mois, pour vivre le printemps ici, près de moi !!!

Un mois, long et court à la fois, dont je vais profiter avec lui…vous vous en doutez…avant qu’il ne reparte pour je ne sais combien de temps !

J’aurais sans doute mieux à faire que d’agiter les touches du clavier pour alimenter mon blog…la vraie vie m’appelle auprès de mon fils, de mes fils réunis, de la famille ensemble !!

Cela ne m’empêchera pas de venir voir ce qui se passe chez vous, car en bonne commère, je « guette » derrière mon écran ! Oui, oui, je guetterai vos mots…jours et nuits !

 

CAR à c’qui paraît la nuit…

 

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 14:35

 

 

 

Margelle du puits

 

 

 

                                                            Nous volons à l’envi

                                Les raisins gonflés de vie

Enivrés des parfums de la vigne au vin doux

                                            Le liquide sucré perle

                                           Sur tes lèvres ourlées

                                                 De mots-miel

                                              De mots-caramel

Mots qui ruissellent comme le jus pastel de la grappe rebelle

                              Lèvres luisantes aux couleurs arc-en-ciel

Que je lape, gourmande, d’un élan passionnel

                                            Tu défais la bretelle

                                          Du corsage en dentelle

                                            Qui révèle l’étincelle

                                            D’un émoi fusionnel

                                          Là-bas, sous la tonnelle

                                  Deux corps nus sur la margelle

                       Enlacés, embrassés, emmêlés sous le ciel

                                         Et la brise qui s’en mêle …

 

 

 

 

 

 

                                          

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 17:14

 

 

 

Papillon-livre

 

*

 

Soleil sur les paupières qui battent

Papillon aux ailes fragiles

Se pose et bruit

Sur les pages du livre

Ouvert vers le ciel

Vent malin qui froisse

Les pages qui frétillent

Battement d’ailes

Bruissement de pages

Pages qui s’envolent

Papillon vole

Doux bruissements

Aux heures qui s’étiolent…

 

 

 

 

Des papillons mais ...toujours pas d'hirondelles en vue...!

 

Elles sont où,

ces demoiselles

chez vous ?

Envoyez-moi vos hirondelles

que je les sermonne, les belles !

 

En attendant de regarder dans ma boîte aux ailes, j'ai piqué ce papillon-là, !

 

Lalalalala...

 

 

 

 

 

 

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 15:23



 

 

Petite Sagesse, tel était son nom, se balançait à califourchon sur la lune.

Elle était à la fois fée du ciel et scribe du Père Noël.

Toute petite elle était, mais grand était son cœur.

Elle avait une mission sur cette terre qu’elle scrutait depuis la lune.

Les maisons, qu’elle voyait minuscules depuis son perchoir d’or, n’avaient aucun secret pour elle.

            Elle perçait l’intimité des gens par son regard qui pouvait traverser les murs les plus épais.

Ainsi voyait-elle toutes les bonnes et mauvaises choses qui se passaient à l’intérieur de ces maisons minuscules.

Les bêtises, les mensonges et les colères des petits enfants lui faisaient plisser son petit nez tant sa déception était grande.

L’obéissance, l’honnêteté, la générosité, au contraire, lui donnaient envie de danser, et plus elle dansait, plus la lune se balançait.

 

Petite Sagesse aimait tous les enfants, même les moins sages…mais elle se désolait de constater que peu de maisons respiraient la sagesse, car sa mission était de signaler au Père Noël, les enfants les plus sages…

Quelle mission difficile pour Petite Sagesse qui espérait que tous les enfants du monde croulent sous les jouets !

Quand une maison respirait la sagesse de ses petits occupants, elle désignait une étoile, parmi toutes les étoiles qui scintillaient et dansaient autour d’elle.

Elle la pointait de son petit doigt autoritaire et priait l’étoile choisie de filer droit sur la maison en question.

Là, l’étoile brillant de ses mille feux filait et se posait sur la cheminée, et de son petit œil malicieux, elle se mettait à cligner !

Ainsi, le Père Noël, d’un seul regard, pouvait repérer de suite, pendant la nuit de Noël, les maisons où vivaient à coup sûr les enfants sages.

 

Ho, bien sur, le Père Noël était un brave homme ! Il ne pouvait jamais se résoudre à punir les enfants les moins sages…ceux-là recevaient quand même les jouets qu’ils avaient commandés, mais ils n’avaient pas, sous le sapin, le cadeau-surprise, le cadeau “en plus” que le Père Noël ne réservait qu’aux enfants les plus sages !

 

En bon petit scribe, Petite Sagesse énumérait sur un parchemin tous les défauts et toutes les qualités qu’elle avait pu observer de son perchoir.

De sa plume d’or, elle inscrivait sur deux colonnes les noms des enfants, les sages et les moins sages, et remettait son parchemin au Père Noël, une fois qu’elle l’eut enluminé de poudre d’étoiles.

Ceci dans le seul but de comparer, d’une année à l’autre, les progrès effectués.

Mais souvent, Petite Sagesse trichait…Oui, elle trichait !

Elle mettait beaucoup plus d’étoiles aux cheminées des maisons qu’il n’en eut fallu. Le Père Noël n’y voyait que du feu, et distribuait des cadeaux, toujours plus de cadeaux !

 

En fait, le brave homme à la barbe fleurie, n’était pas dupe…Il savait bien qu’il ne pouvait y avoir autant d’enfants sages, mais il trouvait tellement plus agréable de faire sa tournée de Noël entouré d’étoiles :

Non seulement les étoiles éclairaient son chemin, mais elles lui réchauffaient le cœur.

 

C’est pourquoi les nuits de Noël, depuis toujours, sont des nuits magiques, brillantes de mille feux, et que des étoiles scintillent dans les yeux écarquillés des enfants !



Le Père Noël est un peu débordé en ce moment, aussi lui ai-je proposé mon aide. Le vieil homme si charmant n'a pas refusé ma proposition, vous vous en doutez bien, aussi je m'en vais le rejoindre pendant quelque temps...puis j'irai rendre visite à Petite Sagesse aussi... Alors je serai absente de mon blog jusque début janvier, mais là-haut le Père Noël doit avoir un ordi donc j'irai vous rendre visite à vous aussi!
N'hésitez pas à vous installer dans ma caverne, ya plein de choses à lire et toujours un café au chaud!!

J'ai eu envie de vous ressortir ce petit conte écrit l'an dernier, histoire de vous faire rêver un peu...car nous sommes encore de grands enfants...qui avons besoin encore de douceurs, n'est-ce pas?

Je vous souhaite de tout mon coeur de merveilleuses fêtes de fin d'année et un Noël doux, doux, doux!




Gif Noël- Kri


Merci à Kri pour ces images toujours aussi enchanteuses!









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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 18:29



SDF et son chien





Contre son flanc je suis couché

Pour ma chaleur lui donner

Il fait trop froid sur le trottoir

En cette nuit vide d’espoirs

 

Allongé sous l’arche d’un pont

Je sens son corps plein de frissons

Je ne suis qu’un pauvre vieux chien

Mais je sens bien qu’il va pas bien

 

Il couche sur de vieux cartons

Trempés par la neige qui fond

Le vent glacial qui souffle fort

Le fait tousser même quand il dort

 

Les gens n’ont plus un seul regard

Ils sont pressés car il est tard

Rentrer au chaud dans leur maison

Est leur seule préoccupation

 

Pour attirer leur attention

J’aboie un peu sans conviction

Mon maître est en danger dehors

Mon maître est en danger de mort

 

A l’abri des logis douillets

Le potage fume, c’est la veillée

On a fermé tous les volets

Sur la misère qui fait chialer

 

Alors que la France s’endort

Alors qu’il neige plus encor

Mon maître est en danger dehors

Mon maître est en danger de mort

 

Mon maître est en danger dehors

Je crois bien que mon maître est mort…






Ce texte a été écrit pour soutenir les Sans-abris...Voyez plus bas, dans l'article précédent, l'appel à Nicolas !


* Image empruntée sur le site de France Soir  


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Présentation

  • : La caverne des mots
  • : Bienvenue dans ma caverne où les mots sont rois! Entrez, asseyez-vous...Ici, poésies, nouvelles, petits billets de papier aigres ou doux, chansons...Un moment convivial à partager en échangeant nos mots!Café ou thé?
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 Une silhouette évanescente, une ombre sous la lune blanche, juste un reflet dans un miroir où se reflètent mes mots…Mes mots qui résonnent en écho à d’autres mots, les vôtres, et ceux de mes auteurs favoris.
  • Je suis… Une silhouette évanescente, une ombre sous la lune blanche, juste un reflet dans un miroir où se reflètent mes mots…Mes mots qui résonnent en écho à d’autres mots, les vôtres, et ceux de mes auteurs favoris.

 
  Bienvenue dans ma caverne peuplée de livres ! A la nuit tombée, lorsque je dors, les livres s’échappent des rayonnages et partent en voyage. Les mots volent hors des pages et dansent une carole à en perdre voyelles et consonnes. Les auteurs et leurs héros devisent de tout et de rien, en refaisant le monde, confortablement installés dans les fauteuils du salon. Parfois leurs éclats de rire ou de voix troublent mon sommeil. Aux premiers rayons du soleil, à l’heure des rêves enfuis, mes livres regagnent sagement leur place, alignés sur l’étagère. Seuls quelques mots errent encore, surpris par la clarté du jour…

Bienvenue !


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Au Grenier Encore Des Livres

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Mon recueil de nouvelles :

" Petites histoires et autres fariboles en terres de Champagne "

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Et les minutes défilent

Quelques citations...


"Ecrire, c’est aussi ne pas parler. C’est se taire. C’est hurler sans bruit." (M. Duras)

 

"Ecrire, c’est une façon de parler sans être interrompu." (Jules Renard)

"Un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle." (Proverbe africain)


 "Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le droit de réussir." (Jean Mermoz)

"Comment se tue en nous l’amour ? Trois degrés : souffrance, indignation, puis indifférence. La souffrance use l’amour, l’indignation le brise, et on arrive à l’indifférence finale." (Sainte-Beuve)
 

 "Créer c’est vivre deux fois." (Albert Camus)

 "On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.

Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme." (Douglas MacArthur)


"La vie ressemble à un conte ; ce qui importe ce n’est pas sa longueur, mais sa valeur." (Sénèque)


"La vie est finie quand tu ne surprends plus personne." (Coluche)

"L’indifférence est une paralysie de l’âme." (Anton Tchekhov)








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